Venez découvrir l’exposition Photographique de Michel DELANNET
du lundi 9 au 20 septembre
Michel DELANNET
Limousin d’origine né en sept 1941
Habite Villons les Buissons
A débuté la Photo en 1958 : noir et blanc avec un 6¨6 Lubitel offert par mon frère.
16 expos dont l’acrobatie, le feu d’artifice, insectes en bulle, rocks stars, symphonie végétale, le mouvement par la danse, Portraits féminins etc…
‘‘ Les jardins de Versailles’’
Origine de cette exposition
C’est en se promenant un samedi dans les jardins du Château de Versailles avec une de nos petites filles, que j’ai tenté de saisir quelques vues par ce beau temps ensoleillé.
A cet instant, je ne pensais pas exposer mes photos, je prenais seulement beaucoup de plaisir à fixer ces instants magiques où l’eau prend ce pouvoir vernissant des fontaines, c’est véritablement féérique. Le public ne s’est pas trompé sur la composition des formes, des alignements, des architectures, il était en admiration.
Remarque :
La beauté, c’est subjectif et culturel à la fois, c’est une notion abstraite liée à de nombreux aspects de l’existence humaine. Ce concept est étudié principalement par la discipline philosophique de l’esthétique.
Technique :
Les photos sont prises par un boîtier Nikon D50 muni d’un objectif de même marque 16- 85mm.
Les jardins de Versailles
En 1661, Louis XIV charge André Le Nôtre de la création et de l’aménagement des jardins de Versailles qui, à ses yeux, sont aussi importants que le Château. Les travaux sont entrepris en même temps que ceux du palais et durent une quarantaine d’années. Mais André Le Nôtre ne travaille pas seul. Jean Baptiste Colbert, surintendant des bâtiments du Roi, de 1664 à 1683, dirige le chantier ; Charles Le Brun, nommé Premier peintre du Roi en janvier 1664, donne les dessins d’un grand nombre de statues et fontaines ; enfin, le Roi lui-même
Photos non retouchées mais recadrées.
Les jardins de Versailles
En 1661, Louis XIV charge André Le Nôtre de la création et de l’aménagement des jardins de Versailles qui, à ses yeux, sont aussi importants que le Château. Les travaux sont entrepris en même temps que ceux du palais et durent une quarantaine d’années.
Mais André Le Nôtre ne travaille pas seul. Jean Baptiste Colbert, surintendant des bâtiments du Roi, de 1664 à 1683, dirige le chantier ; Charles Le Brun, nommé Premier peintre du Roi en janvier 1664, donne les dessins d’un grand nombre de statues et fontaines ; enfin, le Roi lui-même se fait soumettre tous les projets et veut le « détail de tout ».
Un peu plus tard, l’architecte Jules Hardouin-Mansart, devenu Premier architecte du roi et surintendant des Bâtiments, édifie l’Orangerie et donne plus de simplicité au tracé du Parc, notamment en modifiant ou décloisonnant certains bosquets.
La création des jardins demande un travail gigantesque.
D’énormes « remuements de terre » sont nécessaires pour niveler les espaces, aménager les parterres, bâtir l’Orangerie, creuser les bassins et le Canal, là où n’existaient que des bois, des prairies et des marécages.
Les arbres sont acheminés déjà grands depuis de nombreuses provinces de France ; des milliers d’hommes, quelquefois des régiments entiers, participent à cette vaste entreprise.
Pour rester lisible, le jardin doit être replanté environ tous les cent ans. Louis XVI s’en charge au début de son règne. La replantation suivante a lieu sous Napoléon III. Après un certain nombre de tempêtes à la fin du XXe siècle, dont celle de décembre 1999, la plus dévastatrice, le jardin est entièrement replanté.
Il offre actuellement un aspect jeune, comparable à celui qu’a connu Louis XIV.